La vie du balcon en images, des petits bouts de nous, du quotidien.

(suite…)

J'aime, je partage !

Quoi de mieux que de commencer un billet par un petit point sur mon nombril ? Sache donc que je suis une fille du livre. C’est un objet qui n’est jamais loin de moi. J’ai même failli en faire mon métier. J’ai suivi des études mixant les métiers du livre (libraire et éditeur)  puis je me suis concentrée la communication. Maintenant mon plus grand kiffe est d’avoir des missions permettant de m’attaquer au travail du papier…  Donc tu vois le livre ça me parle !

Grâce à ma copine Mamour blogue j’ai pu participer à une opération proposée par Price Minister pendant le Festival de la BD d’Angoulême. L’idée était que l’on choisisse une BD parmi la sélection proposée au jury du festival, qu’on la lise et qu’on en parle. Cette idée m’a plu et j’ai passé 3 plombes à me décider pour ma BD.

Je suis partie à la découverte d’Alan Ingram Cope persuadée que c’était un homme exceptionnel. Et là j’ai découvert que non, c’était un homme ordinaire. Mais un homme qui savait raconter les histoires et qui a su trouver un excellent auditeur/dessinateur (Emmanuel Guibert) à qui les raconter. Autant te dire tout de suite j’ai adoré !

L’histoire est simple, c’est le récit de l’enfance d’Alan Ingram Cope. Sa famille, les vacances, des anecdotes, les liens tissés entre les gens.
Plus qu’une BD, ce livre est un roman graphique. Le texte est vraiment au centre de la BD, le dessin le sert à merveille ! J’ai adoré l’écriture qui donne l’impression qu’Alan est juste là, à côté de toi, et qu’il raconte comme ça lui vient. C’est très apaisant. J’ai été émue par cette lecture. Comme l’impression d’assister à la genèse des souvenirs du narrateur.  Et aussi de l’impact de ces souvenirs d’enfance sur toute une vie. La fin de cette BD est vite là. J’aurais voulu que ça dure encore plus longtemps !

Comme je dois donner une note je dis facile un 17/20.

J’ai photographié le livre, une vignette qui me parle beaucoup car elle me ramène à mes propres souvenirs et une planche où Alan écoute sa grand-mère raconter un souvenir.

Il y a deux autres tomes La guerre d’Alan : D’après les souvenirs d’Alan Ingram Cope et L’Adolescence d’Alan également à L’Association.
L’Enfance d’Alan d’après les souvenirs d’Alan Ingram Cope, Emmanuel Guibert, L’Association, 19€.

PS : ça m’a plu d’écrire ce billet. Si toi aussi, dis le moi en commentaire et je posterai un « Point lecture » de temps en temps.

J'aime, je partage !

J’espère que tu as passé un bon mardi ? Moi je revois un peu le jour. Pu**** que ça fait du bien !

J’avais envie de partager avec toi un morceau directement issu de la playlist du Baby. C’est une version acoustique de « Allez allez allez » de Camille.

J’ai vu Camille en live à l’époque ou elle participait au concept Nouvel Vague. Elle avait été géniale et complètement dingue. Ensuite j’ai pas eu de feeling particulier pour ses autres albums. Il paraît qu’ils plaisent vraiment aux enfants. Et ça s’est vérifié avec mon Baby. Dès qu’il entend ce morceau il fonce à côté de l’ordi et se met à se dandiner. Ça marche à tous les coups. Et à tous les coups aussi je suis complètement gaga ! Maintenant il la chante aussi : « aé aé aon ! » J’adore. C’est génial de voir ce Baby tellement content dès qu’il y a de la musique. Et son père -qui est un vrai fan de musique- est fière comme un paon !

Et chez toi c’est quoi la chanson préférée du moment ?

Retrouve aussi des jolies mélodies avec les Mardi musique de Mamour blogue,  Maman Louzoù et une nouvelle Les Blablas de Lili .

J'aime, je partage !

La vie du balcon en images, des petits bouts de nous, des instants, du quotidien.

(suite…)

J'aime, je partage !

Tu le sais je galère grave grave grave à être politiquement correcte avec mon corps. Je ne prends pas trop de temps pour me pomponner et tout ça, même si j’aime bien. Mais c’est pas ce que je privilégie vs profiter de temps avec mon fils mon mec, traîner un peu plus en écoutant Inter… Donc mon corps m’en veux. J’ai la peau super sèche vu que je ne m’oins pas suffisamment. Dans mes rêves les plus fous il existerait un pschit qui m’hydraterait immédiatement sans que je n’ai à patienter une seconde avant de mettre mes fringues.  Et bien figure toi que Nivea l’a fait. Pas le pschit ça non. Mais mieux en fait. Ca s’appelle tout bêtement « Lait corps sous la douche ».

Quand j’ai vu ça dans un magazine j’ai mis mon cerveau en mode print et je n’ai cessé d’y penser jusqu’à ce que je puisse l’acheter.

Mais comment ça marche ? C’est très simple. 1- prends ta douche, savonne toi et rince toi. 2- prends ton lait corps, enduit t’en et rince. 3- Vite prend ta serviette il caille, sèche toi, habille toi. Voilà ! Si tu veux être sur de ne pas te tromper regarde cette vidéo top gourde de la marque (et évite d’avoir l’air aussi niais que la fille)…

Ça fait une semaine que j’utilise la version du lait pour peaux sèches. C’est vraiment pas de contrainte juste 2 minutes en plus sous la douche. Ma peau est plus douce et souple. Elle me remercie ! Au niveau odeur, pendant l’application ça sent la Nivea du pot bleu de mon enfance alors j’aime bien. Après ça ne sent quasi plus, tu peux mettre du parfum. La texture ressemble à celle d’un yaourt brassé, beaucoup plus fluide qu’un lait hydratant. C’est pas désagréable. A mon avis le peau pot peut durer 1 mois.

Bilan : Validé par le balcon ! 

Et toi tu fais comment pour arriver à prendre 5 minutes pour ton corps ?

Nivea, Lait corps sous la douche, env. 4€ en GMF. 

J'aime, je partage !